DINDONS – HISTOIRE

Etymologie: Le nom scientifique du dindon est Meleagris gallopavo ou méléagride gallinacé, du latin gallus signifiant coq, et pavo signifiant semblable au poulet. Meleagris est le nom romain pour pintade, ce qui explique la confusion originale du dindon avec la pintade.
Domestication du dindon: Le dindon domestique descend du dindon sauvage originaire du sud de l’Ontario, de certaines régions des É.-U., et du Mexique. Le dindon fut domestiqué par les Indiens d’Amérique au Mexique d’où il fut emporté en Europe par les conquistadores espagnols au début du 16e siècle. Dès 1524, le dindon avait pénétré en Angleterre, et dès 1558, il devint très recherché dans les banquets, tant en Angleterre que dans toute l’Europe. Quand les colons anglais vinrent en Amérique du Nord, ils y rapportèrent le dindon domestiqué et l’utilisèrent pour la reproduction par croisement avec des dindons sauvages originaires du pays.

D’où le dindon tire-t-il son nom?

L’une des hypothèses intéressantes est la formation phonétique avec l’onomatopée du cri du dindon sauvage “turk-turk-turk” (ndlr : Dans Astérix il fait “glou-glou”… et c’est plus joli !). Une autre explication serait qu’au 16e siècle, les marchands faisant commerce le long du littoral méditerranéen étaient appelés “Turkes”. Une théorie veut que Christophe Colomb pensait que le Nouveau Monde était relié à l’Inde et que les dindons étaient en fait des paons, et qu’il les appela “Tuka” qui signifie paon dans la langue tamil de l’Inde. En Espagne, comme en France, le dindon était souvent appelé poule d’Inde, d’où le nom “dinde” et “dindon” qui en découla.

Des faits sur la longue et intéressante histoire du dindon – La présence de fossiles a prouvé l’existence de dindons sur le continent américain il y a 10 millions d’années. Les Indiens d’Amérique chassaient le dindon sauvage pour sa chair tendre et délicate, à une époque aussi lointaine que l’an 1000 de notre ère. Les plumes de dindon étaient utilisées pour stabiliser les flèches et orner les costumes de cérémonie, et les ergots des pattes des dindons sauvages étaient utilisés comme projectiles à la pointe des flèches ndlr : vous vous êtes déjà pris une patte de dindon dans la figure ?. Le dindon sauvage bronzé doit voler pour survivre et peut parcourir près de 2 kilomètres en planant sans battre des ailes.

Folklore – Les Navajos racontent qu’un énorme dindon femelle: des comme ça j?en vois tous les jours! volait au-dessus de leurs champs, leur emportait du blé et leur démontrait comment cultiver leur récolte. Benjamin Franklin n’a pas été content lorsque l’aigle à tête blanche fut choisi contre sa proposition d’avoir le dindon d’origine native pour symbole national (ndlr : quel manque de goût M. Washington !). Il a dit que le dindon était un oiseau plus respectable et un vrai originaire natif de l’Amérique.

Comment le dindon s’est intégré aux festivités ?
En Angleterre, on célèbre la fête de la moisson depuis plusieurs années. On raconte que la Reine Elizabeth (ndlr: quand on parle du dindon !) s’était jointe aux troupes pour manger de l’oie rôtie lorsqu’on lui apporta la nouvelle que l’Armada espagnole avait coulée en route pour attaquer l’Angleterre. La Reine était tellement ravie qu’elle commanda une deuxième oie pour célébrer cette bonne nouvelle et donc l’oie est devenue l’oiseau le plus souvent dégusté lors des célébration en Angleterre. Lorsque les colons sont arrivés au nouveau monde, il ont continué de célébrer la fête de la moisson mais les oies se faisaient rares. Puisqu’il y avait beaucoup de dindons sauvages et qu’il était plus facile d’en trouver, ils ont substitué l’oie par du dindon rôti.

Comment le dindon est devenu l’oiseau de choix à l’occasion de Noël ?
Historiquement en Angleterre, les cygnes, les paons et les grues étaient rôties lors d’occasions spéciales. Charles Dickens semble-t-il a changé cette tradition. On raconte que l’idée de servir du dindon au souper de Noël est devenue populaire grâce à son récit intitulé “l’Histoire de Noël”.

Des faits sur la production
Les dindons femelles sont appelées dindes, les mâles, dindons, et les jeunes sont appelés dindonneaux. Le plus grand producteur mondial d’oeufs de dinde est Cuddy International Corporation à Strathroy, Ontario. Sur quatre dindons consommés, un provient d’un oeuf pondu dans cet établissement. Hybrid Turkeys Inc. de Kitchener, Ontario, est l’un des trois seuls éleveurs primaires de dindons dans le monde, et a une clientèle dans plus de 45 pays. La plupart des dindons élevés commercialement sont des White Hollands, qui ont un plumage tout blanc. Le dindon bronzé fut la principale race élevée au Canada jusqu’au milieu des années 60.

Gros dindon – Le “Guinness Book of Records” souligne que le plus gros poids pour un dindon farci est 39,09 kg (86 lb). La dernière compétition pour le plus gros dindon eut lieu à Londres, Angleterre, le 12 décembre 1989 (ndlr : qui a dit que c’est une anglaise qui a gagné ?).

Dindon, oiseau gallinacé originaire d’Amérique, caractérisé, à l’âge adulte, par une tête et un cou quasi dépourvus de plumes. Les dindons sont dotés d’un ergot, situé à l’extrémité du membre inférieur.

Au moment de la parade et dans les comportements d’agression, le mâle redresse les plumes de sa queue, les rectrices, pour former une roue. Comme tous les autres gallinacés, le dindon est polygame, et les mâles se battent entre eux pour conquérir les femelles. Le nid, composé de feuilles sèches et d’herbe, est dissimulé aux prédateurs. Les femelles pondent, à chaque couvée, entre neuf et dix-huit oeufs de couleur crème, mouchetés de roux. Toutes les espèces domestiques sont issues d’un dindon sauvage, originaire du Mexique et des forêts d’Amérique du Nord. Cette espèce sauvage est caractérisée par des plumes beiges situées à l’extrémité des ailes et de la queue. Le mâle porte des caroncules (excroissances de la peau) autour du cou, et une touffe de soies, ressemblant à une barbe, pend à sa poitrine. Au milieu du XXe siècle, une chasse trop intense et la destruction de son habitat ont failli entraîner la disparition du dindon sauvage. Aujourd’hui cependant, l’espèce a pratiquement retrouvé sa répartition d’origine. Le dindon sauvage a été introduit avec succès dans des îles du Pacifique et dans certaines régions d’Amérique du Nord. C’est au Mexique qu’il fut d’abord domestiqué, puis en Europe, au début du XVIe siècle. Depuis lors, les dindons font l’objet d’un élevage intense en raison de l’excellente qualité de leur chair et de leurs oeufs (voir Aviculture). Il existe une autre espèce sauvage, le dindon ocellé, originaire de la péninsule du Yucatán, dans le sud-est du Mexique. Ses rectrices sont parsemées d’ocelles bleu-vert et nuancées d’un violet chatoyant. Les plumes du corps sont dorées, avec des reflets bronze métallique. La peau de sa tête et de son cou est bleue, et recouverte de verrues rouges.

Classification : les dindons appartiennent à la famille des Phasianidés, de l’ordre des Galliformes. Ils sont parfois placés dans la sous-famille des Méléagrididés. Le dindon sauvage a pour nom d’espèce Meleagris gallopavo, et le dindon ocellé, Agriocharis ocellata.

DINDONS – SAVOIR ACHETER

Les dindons français ou étranger.

Les dindons étrangers. Les textes suivants sont extraits du livre “Le Traité Rustica de la Basse-Cour et du standard volailles édité par la F.F.V. : voir Les livres sur la basse-cour. Les dindons français. Le Noir de Sologne, il semble qu’en France son acclimatation et sa domestication aient surtout été entreprises dans des fermes du Centre, appartenant à des monastères, notamment dans les environs de Bourges. C’est sans doute de là que viendrait la race du dindon Noir de Sologne ” écrit A. Bellême, vers 1950. Le dindon Noir de Sologne était tellement connu que Louis Bréchemin La basse-cour productive , 1921 le nomme tout simplement Dindon Français.

Le Loiret, le Loir et Cher et le Cher sont les départements d’origine de ce dindon. Autrefois, on pouvait y voir des troupeaux de plusieurs centaines de sujets conduits par des enfants. Les dindons parcouraient ainsi les champs, les endroits couverts de broussailles et de landes, où ils trouvaient une grande partie de leur nourriture. Actuellement, cet élevage a fortement régressé. Cependant, les éleveurs amateurs sélectionneurs s’efforcent de maintenir cette race autrefois très appréciée pour la qualité de sa chair blanche et délicate.
En France, nous connaissons aussi plusieurs races régionales, plus ou moins rares, de dindons noirs (en plus du Noir de Sologne), qui se ressemblent beaucoup et dont le format et le type se sont forgés en fonction des conditions du milieu et de la sélection effectuée par les éleveurs : Noir du Gers, Noir du Bourbonnais, Noir de Bresse, Noir de Normandie. Pour être honnête, il faut avouer qu’il est parfois difficile de différencier ces variétés, dont certaines (Noir de Bresse, Noir de Normandie) n’ont pas de standard homologué. A noter aussi que le standard homologué du Noir du Gers, même si on peut le considérer comme une race ancienne, n’apparaît que dans l’édition 2000 du recueil des standards édités par la F.F.V. (Fédération Française des Volailles). Le dindon doit peser au minimum 8 kg et la dinde au minimum 5 kg. Le coloris du plumage est entièrement noir y compris les rémiges (un léger reflet bronzé est toléré au croupion).
Le Noir du Bourbonnais ressemble au Noir de Sologne, en plus élégant ; c’est un dindon vigoureux, au port fier, vif et fougueux. Le coloris du plumage est noir intense à reflets métalliques mais non bronzés (un léger reflet bronzé est toléré dans les plumes de couverture de la queue). Tarses noirs devenant plus clairs, voir rosés avec l’âge. Le dindon pèse de 10 à 12 kg et la dinde de 7 à 9 kg.
Le Noir de Normandie se distingue principalement du Noir de Sologne par son format plus réduit et ses tarses plus courts. C’est un oiseau trapu et vigoureux (qui était considéré autrefois comme le plus rustique des dindons) ; la dinde est une couveuse attentionnée. Autres caractéristiques : tarses noirs (mais rougissant avec l’âge), caroncules plus développées que celles du Noir de Sologne, plumage noir mat sans reflets bronzés. Son format plus réduit le fait paraître plus léger qu’il n’est en réalité : un mâle adulte pèse, quand même, de 10 à 12 kg. N’ayant pas de standard homologué, cette race n’existe pas ” officiellement “.
Le dindon Rouge des Ardennes est actuellement le plus populaire en France. Comme son nom l’indique, son plumage est d’une couleur fauve rouge, le plus uniforme possible, avec cependant des zones plus claires. Le dindon arrive facilement à 10 kg et la dinde à 6 ou 7 kg.
L’aire d’origine de cette variété est la région franco-belge des Ardennes. Ce dindon était pratiquement disparue il y a quelques années. Actuellement, il est de nouveau assez courant chez les éleveurs : son coloris original (par rapport au noir, au bronzé et au blanc) lui vaut son succès.
Adresse : Jean-Michel Devresse, ruelle de l’Eglise, 08380 Auge.
Tous ces textes sont extraits des ouvrages avicoles
Les dindons étrangers
Les textes suivants sont extraits du livre “Le Traité Rustica de la Basse-Cour” (Editions Rustica) et du standard volailles édité par la F.F.V. : voir Les livres sur la basse-cour

Bronzé d’Amérique
Les dindons blancs
Le dindon Bleu (dit de Suède)
Cröllwitzer
Les dindons noirs
de Ronquières
d’autres dindons

Bronzé d’Amérique

Le dindon Bronzé d’Amérique est issu directement du dindon sauvage d’Amérique et c’est celui dont le coloris rappelle le mieux son ancêtre sauvage. C’est aussi le plus gros des dindons domestiques : le mâle pèse de 10 à 15 kg, voire plus, tandis que la masse de la femelle oscille entre 6 et 8 kg. Ce volumineux d’in- don n’est pas un oiseau de grosse production, mais c’est un animal majestueux qui plait à de nombreux amateurs possédant un espace assez important. Ce n’est que dans la première moitié du 20ème siècle que les standards des dindons et l’appréciation des coloris se sont précisés.

Les dindons blancs

Le dindon Bleu (dit de Suède)

Le dindon Bleu est un dindon “à la mode” en France actuellement. Ce coloris est signalé depuis très longtemps dans les basses-cours ; il demeure cependant encore assez peu répandu. La dénomination “de Suède” n’a probablement rien à voir avec le pays en question ; ce nom vient sans doute d’une époque à laquelle il était de bon ton de donner des noms “exotiques” aux races et variétés d’animaux ; elles avaient ainsi une plus- value pécuniaire.
Le coloris bleu est en réalité un gris. Sont admises deux nuances de bleu : le foncé et le clair régulier (quelques points noirs épars sont cependant tolérés) ; beaucoup d’éleveurs préfèrent le bleu foncé. Les tarses sont de couleur rougeâtre. La masse du dindon peut varier entre 6 et 8 kg (selon l’âge), et celle de la dinde entre 4 et 5 kg.
Aux Etats-Unis, il existe un dindon “Slate”, ce qui veut dire ardoisé, qui est très semblable à notre dindon bleu.

Cröllwitzer

Originaire de Cröllwitz en Saxe (Allemagne), ce dindon a été obtenu à partir du dindon belge de Ronquières croisé avec des dindes locales. C’est un dindon de taille moyenne : le mâle pèse de 6 à 8 kg et la femelle de 4 à 5 kg. Ses tarses sont de couleur chair à rouge.
Mais ce qui fait l’originalité de cette variété, c’est le coloris de son plumage. Voici sa description donnée par le standard de la Fédération française des volailles : cou blanc pur ; ensemble du plumage blanc ; chaque plume, à son extrémité, est distinctement marquée d’une barre noire transversale suivie d’un étroit liseré blanc. Chez le dindon, le motif de la poitrine apparaît un peu comme des écailles superposées. Chez la dinde, ces dessins sont moins nets et précis. Le dos, la couverture de la queue, les flancs portent des dessins plus prononcés. Plumes de la queue marquées d’une barre transversale noire et d’un liseré blanc. Rémiges secondaires blanches. Rémiges primaires gris noirâtre, tige de la plume blanche.

Les dindons noirs

Si beaucoup de régions françaises ont leur dindon spécifique, il en est de même pour de nombreux pays étrangers. Citons les plus connus. En Allemagne et en Suisse, est admis un dindon noir pesant de 10 à 12 kg pour le mâle adulte (8 à 10 kg pour le jeune), 6 à 7 kg pour la femelle adulte (5 à 6 kg pour la jeune), présentant un plumage noir brillant comme du velours, sous-plumage noir ; le brillant bronzé dans le liseré des plumes du dos et de la queue est admis ; tarses noirs, rougetres ou violacés chez les sujets âgés. Aux Etats-Unis, les sujets doivent être très légèrement plus lourds.
Le Noir de Norfolk
En Angleterre, on élève le Noir de Norfolk : bec, pattes et yeux noirs, plumage noir intense. Le mâle adulte pèse 11 kg et la femelle adulte de 6 à 7 kg (les jeunes sont plus légers). C’était autrefois la race la plus connue d’Angleterre : la région de Norfolk s’adonnait à l’élevage du dindon sur une grande échelle.
Le Noir d’Italie
Le dindon Noir d’Italie est un très petit dindon : le mâle pèse entre 4 et 6 kg tandis que la femelle ne dépasse pas de 2,5 à 3,5 kg.

de Ronquières

C’est la seule race de dindon belge (avec la race franco-belge Rouge des Ardennes), mais il en existe de nombreuses variétés. Ronquières est située à 25 km de Bruxelles : dans cette localité et sa région, on élève des dindons depuis le 18ème siècle. Le Ronquières est issu des dindons rustiques du pays avec des couleurs délavées typiques. Le dindon est apparu dans les Pays-Bas méridionaux au 16ème siècle : ce dindon a donc figuré parmi les toutes premières importations des dindons d’Amérique via l’Espagne.
Vers 1800, l’élevage était très prospère : il n’était pas rare de rencontrer des troupeaux de 500 dindons. Les marchands français venaient chaque année, vers le 1er octobre, pour acheter tout ce qui était disponible. Mais ils abandonnèrent ce commerce, et vers 1900, note F. Vanbuggenhoudt, “cet élevage autrefois si prospère est devenu presque nul et est tombé en désuétude” et “ce n’est plus guère que pour les prix de tir à l’arc qu’on achète des dindons !” La taille des troupeaux était alors de 150 à 175 sujets.
Sa taille place le Ronquières à la limite entre les races moyennes et petites : en effet, le dindon adulte pèse de 8 à 9 kg (le jeune de 5 à 6 kg), la dinde adulte 4,5 kg (la jeune 3,5 kg).
Le standard belge précise que cette race compte de nombreuses variétés, lesquelles présentent cependant (excepté le Ronquières blanc) des caractères communs que voici :
– absence quasi totale de la couleur bronzée ; fond gris mat, brun, roux, fauve ou blanc ; s’il y a reflet, c’est alors un reflet vert, bleu ou pourpre plutôt que bronzé ;
-tendance aux couvertures multiliserées et aux tachetures ou rayures sur les barbes internes des rectrices, des rémiges secondaires et des grandes couvertures des ailes ;
– liseré noir subterminal depuis le camail jusqu’au croupion (cela signifie qu’un liseré blanc suit la bande transversale noire) ;
– rémiges primaires assez monochromes, avec des rayures et un tiquetage noir ou gris foncé, de sorte qu’elles sont plus foncées que les secondaires ; sans stries transversales blanches ; hampe blanchâtre ou pâle ;
– rectrices plutôt pâles, avec un large liseré subterminal plus foncé.
A ajouter à cette description sommaire : yeux à iris brun, paraissant foncés, bec de teinte blanc d’os, pinceau noir, tarses blancs (rosé admis).
d’autres dindons

Les dindons décrits ci-dessous sont très rares en France, pour ne pas dire inconnus.

Le dindon rouge dit Bourbon
Originaire d’Amérique, le dindon rouge dit Bourbon pèse, adulte, de 10 à 12 kg, la dinde de 6 à 7 kg. Ses tarses sont rouge rosé. L’ensemble du plumage est brun rougeâtre soutenu, chaque plume (sauf celles du cou) se terminant par un étroit liser? noir. Cependant, les rémiges sont blanches. La queue est également blanche, mais porte à son extrémité une barre transversale rouge liserée de blanc.
Le dindon Rouge
Le dindon Rouge est un oiseau plus petit (dindon de 7 à 8 kg et dinde de 4 à 5 kg) et plus rouge que le précédent : la présence de blanc n’est tolérée dans le plumage que sur les pointes des rémiges.
Le dindon à ailes noires
Ce dindon est aussi gros que le Bronzé d’Amérique. Sa couleur de fond est noire avec des zones bronzées, dorées ou vert brillant. Comme son nom l’indique, ce dindon possède des ailes noires ; cependant, chaque rémige secondaire possède, à son extrémité, un large liseré blanc.
Le dindon à ailes rouges
Cet oiseau pèse de 10 à 12 kg (adulte), la dinde de 5 à 7 kg. La couleur dominante du plumage est brun cuir, avec diverses zones et dessins d’autres couleurs (souvent foncées) ; les rémiges secondaires sont rouille intense, finement poivrées.
Le dindon Ardoise ou Slate
Originaire des Etats-Unis, le dindon Ardoisé ou Slate n’a jamais été une variété très populaire chez les éleveurs et est actuellement considéré comme pratiquement éteint (d’après Oklahoma State University Board of Regents, novembre 1996). Son coloris est bleu ardoise, par- fois pointillé de noir.
Le dindon Cuivré
Le dindon Cuivré n’est pas un gros dindon. Il pèse entre 7 et 8 kg pour le mâle et de 4 à 5 kg pour la femelle. Son plumage est d’un coloris cuivré chatoyant et brillant qui doit être aussi uniforme que possible.
Le dindon Fauve
Aussi dénommé Jaune ou Beige, ce dindon pèse de 7 à 8 kg (mâle) ou 4 à 5 kg (femelle).Le coloris du plumage de ce dindon est fauve ocre soutenu.(photo ci-contre)
Le dindon de Narragansett
Ce dindon est originaire de la baie du même nom dans le Rhode Island aux Etats-Unis. Modérément volumineux, cet oiseau passe souvent pour le plus hardi et le plus coureur des dindons.

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Publié par
Pierre Marchesseau

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